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Aujourd’hui, seulement ça… étoiles en la nuit.  

Journée Internationale d'Elimination de la Violence contre la femme.

John Clang

Actuellement, il ya beaucoup de femmes qui vivent sans confiance en soi-même, puisque prévaut le peur de l’agressivité et de se sentir la pression psychologique, en violation de sa intimité dans tous les sens. La douleur est forte, mais silencieux et souvent elle quittes la vie. Si la peur a le dernier mot, contribue à dire aux femmes, d'abord très indirectement, «je suis ici», de sorte que la confiance très fragile peut réapparaître. Dans un deuxième moment, s’il est possible, obtenir un accompagnement, pour restaurer l'estime de soi et la  confiance. Malheureusement, aujourd'hui est la journée contre la violence de genre. Malheureusement, il est encore un triste fait à retenir...

Équilibre(s)

Junaid Ahmed

L'équilibre ne peut être mesuré dans le milieu. Il ya des moments que un bon coup de poing sur la table est l'action la plus équilibrée. De l'autre, “ avaler un crapaud ”. Il peut aussi arriver que, ne pas ouvrir la bouche, avec toutes les raisons du monde, peut-être le plus sensible. Je ne pense pas pouvoir en doute que Jésus a été équilibré : expulsion des marchands du temple, la réponse de la syro-phénicienne, les silences de la Passion. Son Royaume n'est pas de ce monde... le critère d'équilibre est celui de l'amour. Ainsi, la croix comme un trône. [Photo: Junaid Ahmed]

Luttes avec Dieu

Je ne sais pas combien de luttes avec Dieu vous avez eu. J'en ai traversé deux. Dans la plus récente, je n'avais plus aucun désir d'aller à la messe. Mais j'ai dû y aller et je m'asseyais aux derniers rangs. Néanmoins, dans ma certitude, le Mystère est plus grand que moi et c'était justement pour cela que je peux le battre. Un jour, j'ai même crier, dans une pièce cachée. De temps en temps, je vais à l'Eglise de Saint-Sulpice, où est cette peinture de Jacob luttant avec l'ange. Cela confirme-moi qu'on ne doit pas avoir peur du combat spirituelle... même avec Dieu. En fin de compte, je le regarde de plus en plus comme le Père qui veut que je me faire grandir. Et je Lui sers avec plus de liberté.

Être [c'est ça : être]

Pronob Ghosh

Je me souviens de cette nuit-là. Pas encore vécu à Lisbonne. Avec Suzanne nous sommes  allé voir la pièce “ Freud frappe à la porte ”. Ce que nous voulions voir était le “ Roi Lear ", mais était complet. Quand l’ouvre est terminé, nous sommes allé, à mon insistance, à la porte des artistes : Je voulais connaître les gens “célèbres”. Nous avons parlé à certains acteurs, oui. En moi avait le désir de : " se je connais gens célèbres je peux être célèbre aussi ”. Aujourd'hui, je sais ce qui était derrière ce désir “d'être quelqu’un” . J'ai pensé à tout cela, après avoir célébré dans la cathédrale de Notre-Dame, les “ j’aime ” et des commentaires que j'avais dans le photo avec l'archevêque de Paris. Aussi en devenant un personnage public où, rejoindre les gens que je connais, beaucoup inconnue personnellement, m'accompagne dans ce que j'écris ou dire. Par logique , selon ce vieux désir, je suis à “ être quelqu’un ”. WOW ! Ces jours-ci, dans la banalité du quotidien, a faire les choses simples, à porter les pyjama et dormir, manger, se brosser les dents, être paresseux en étudier et sortir avec le froid hors de la maison, rappeler les joies et les échecs, j’ai retourné à quelque chose d'important : “ être quelqu’un ” ne peut pas être mesurée par la “ gloire ”, mais en étant lui-même entièrement dans les petites et grandes  choses, indépendamment si s’est connue ou pas. Et je prie : “ Seigneur, je vous demande de coeur, donne-moi l'humilité et la liberté, de sorte que, quoi qu'il arrive, ne pas oublie, comme pécheur, que je suis aimé au-delà de toute qualité ou un défaut ”.

Choses méchantes [ ;) ]

Ce poste peut avoir un ton méchant (pardon a ceux qui sont plus sensible), mais pauvre de qui ne vas pas régulièrement au toilette. Après de la digestion fait, vrai process biologique, ce qui est plus est demandé de sortir. A petit pet (ou -grand) donne toujours envie de rire, et puis il ya l'embarras d'avoir à passer au service, et les odeurs associées. Il me fait penser: si notre corps se débarrasse des restes, il est clair que ce qui sent mauvais dans notre vie est également pour débarrasser. Nous, croyants, nous appelons de péché ... et sauvons fait mal. Il est embarrassant de dire, mais ... qui n’ont pas des péchés, joue la première pierre. Il dit que de le plus grand au plus petit, tous partis sans jouer. Eh bien, nous avons tous besoin d'aller au service. ;)

Messe en la Cathédrale Notre-Dame de Paris

Hier j’ai co-célébré comme diacre en la cathédrale Notre-Dame de Paris. C'était la messe des étudiants, pour l'ouverture de l'année académique. Elle était présidée par l'archevêque de Paris. J’appelle ces célébrations “ Business Class liturgique ” à cause des immenses détails à considérer. ;) Dans la sacristie on m'a demandé si j’ai été aumônier dans une faculté ou une école. J’ai répondu : “ Je suis juste un étudiant. " Il y avait des regards de surprise, comme s'il fallait avoir quelque raison utile d'être là. Je pense que la vie religieuse n'est pas une question d'utilité, mais de livraison de soi. Et puis, je suis rentrée à la maison et je suis retourné aux études. 

Il ya des gens que je n'aime pas.

Edwin L. Wisherd

Il ya des gens que je n'aime pas. Ou que je n'ai pas grande compatibilité relationnelle. Le contraire est vrai aussi. Je me souviens d’avoir traversé des scrupules à admettre cela, croyant qu'être jésuite équivaut à aimer tout le monde. Cela ne signifie pas être grossier ou impoli. Je suis appelé à respecter. Cependant, j'ai aussi connu des bonnes surprises ... [surtout quand disparaissent quelques craintes. Je regarde que je suis sur le mode de la défense. Il ya des choses en moi que je n’aime pas ou que j’ai honte et je me retrouve à projeter en qui je n'ai aucune sympathie] .... nous n’avons pas été les meilleurs amis, mais au moins nous sommes découverts. 

Comparaisons

Sam Abell

Je me débats avec les “comparaisons” et je réalise qu'elles peuvent être une mine de déceptions. Il est vrai que regarder les vies différents de la mienne peuvent aider à relativiser et être très reconnaissant pour ce que j'ai. Cependant, il ya des marques de l'histoire qui doivent être considérées avec affection et respect, même si, bien sûr, d'autres souffrent plus que moi. Mais avoir le courage d'entrer dans la “blessure” d'une personne en la soutenant si nécessaire, l'aider à guérir et à découvrir la sensation de liberté ... aussi loin que possible, à aider celui “qui souffre plus que moi.”

Messe [entre l'apathie et la vie]

 Nicholas Wiesnet

Pardon pour mes fautes... Je remercie pour la compréhension ! :)

Chaque fois que je viens des messes où l'Assemblée est apathique, où nous notons que répond seulement, et que cette célébration n'est pas lieu de Rencontre, je me dis : Qu'est-ce nous avons fait pour arriver à ce point ? Facilement nous plaçons le blâme sur la société, à l'abandon de la foi. Mais oublions la dose de paternalisme, où il se pose: “ pauvre êtes-vous vous qui ne comprenez pas ces choses de la foi. ” Regardant des mains qui ont donné la communion, je vois que ceux-ci ont beaucoup à enseigner sur la foi. Bien que n'étant pas invité à apporter des pots, des vadrouilles, des étudiants, des patients et de la maladie, des photocopies, la houe, le volant, la faim, les livres, la douleur, les conquêtes ... la vie, la VIE comme elle est ... oui, la messe sera toujours ennuyeuse. Et le problème n'est pas «d'eux» mais le nôtre.