lundi 20 janvier 2014

[Por terminer la journée...]



Randy Olson


Pour des moments j’aimerais faire une pause de mes propres pensées. C'est peut-être pourquoi je me refuge dans le “ regarde à l’Infini ” (tout simplement couché, accompagné ou non de musique, et laissez-les remuer à son goût jusqu’à sa fatigue). Je pourrais dire que je prie (même rester une chose belle et édifiante), mais non, même pas. Après tant histoire, d’écouter, digérer la réalité humaine et théologique me rest simplement “ regarder à l’Infini. ” Au moins, je crois que je fait une pause de mes propres pensées, même en sachant que le monde se n’arrete pas... et ils non plus. ;) 

[Choses qui me passe pour la tête]



Hier, tandis que je cherchais sur mon profil un texte que j’avait déjà écrit pour republier, j’ai relu d'autres. Je pensais à certains: pourquoi je les ai écrit, ses sens et la cohérence des mots avec la vie. Également remarqué que certains des plus « aimé » étaient ceux qui avaient été liés à la fragilité et à la douleur. Pure spéculation à ce moment, mais ... est-ce que, aujourd'hui, en pleine « jungle urbaine », où on doit être fort, puissant, le meilleur de tous pour survivre, on donne l'espace de « je ne peux pas », « je suis fatigué » « Oui, je l'admit, je suis fragile et je besoin de protection »? Ça ne pas un apologie de petit pauvre. Bien au contraire, c’est la défense de la liberté de savoir vivre. Eh bien... je continue a réfléchir.

dimanche 19 janvier 2014

[Autres] lectures


Boryana Katsarova

Parmi les sites que j’aimais d’entrer était FNAC ou Bertrand [une librairie Portugaise]. Je regardais les livres, je lisais deux ou trois lignes et c'était comme se j’avait tout lu. J'étais fier. Eh bien, j’était cultivé et intelligent. L'intérêt n’était pas la lecture. Était de (me) tester  l'intelligence. Je vivais le sentiment d'infériorité. Les cicatrices se souvenaient une poussée et le cri : " fille, tu n'est pas, ni seras rien ! " J'ai appris à survivre à partir des affectes. Mes parents m'ont insisté pour être aimable et poli. Ils m'ont embrassé. À sa manière, comme aujourd'hui, ils m’ont aidé comme ils pouvaient. Il fait 2 ans que j'ai relu le passage dans S. Jean : " Comment quelqu'un peut naître de nouveau ? " Oui, on peut renaître . Del survivre à vivre. En faire de nouvelles lectures, de paroles et de temps. Dés de le « vouloir » comme première étape, puis demander de l'aide et après d'être aidé. J'aime les librairies, mais les lieux que j’aime plus  d’entrer sont ceux où je convertis le cœur et la forme de penser : ce sont des livres, ce sont des gens ... où les mots ont le corps et conduisent a l'humanité. 

mercredi 15 janvier 2014

" no " et " prendre le risque "




Alex Coppel


Dans mes années de lycée, j'étais le délégué. Avec la classe, nous avons organisé un voyage aux Açores et un autre à Londres (chaque en chaque cours). Être délégué impliquait une responsabilité complémentaire, en particulier avec de l'argent. Il y avait des collègues qui ne pouvaient pas aller, pour être coûteux. Donc, nous avons mis à vendre des gâteaux et des tombolas. Nous avons innové avec un concert des “groupes musicaux de garage” et un concours de Miss et Mister École. Pour obtenir des prix nous marchions chez les magasines à demander des trucs. Il était une mélange de frustration et de joie. Nous avons, entre autres, un cours de modeles et beaucoup de “non". Cette expérience m'a donné une des leçons que je retiens jusqu’aujourd'hui et je le répète certains fois : le « non » est garanti, à partir de là tout est bon, donc, à prendre le risque!

mardi 14 janvier 2014

Questions de temps



Uta Barth


Il y a quelque jours j’ai ri à penser : “ pour ce moment je devrait être impeccable. Il ya tellement des études et des formules et des phrases et des textes pour se être plus humain et meilleur. Donc, qu’est-ce qui se passe ? Oh, tu ne donnes pas le temps au temps, par exemple. Comment cela ? Profite plus. Signifique pas se détendre. S’il est temps de travailler, travaille. S’il est temps de se reposer, repose. S’il est temps de guérir, guérit. S’il est temps d'aider, aide. S'il est temps d'être, est. Et se encore tu n’est pas humain ou mieux, calme ... prendre le temps de faire le chemin ”.

lundi 2 décembre 2013

Cadeaux [et presence]


Patrice Carlton


Nous entrons dans le temps de commencer à penser à des cadeaux. Penser le cadeau est penser à la personne que je donne quelque chose. Tout au long de ces années, j'ai reformuler ma façon de offrir. Plus que d'être donner-quelque-chose-pour-que-ma conscience-reste-silencieux, j’essaye que la personne devient présent dans ma prière … et je demande à Dieu de donner ce qu’elle a le plus besoin. Ensuite, ce que je propose, un poème à un livre, de la musique à une photographie, c'est à dire, la "question" de cette présence, sera une expression de liberté.


samedi 30 novembre 2013