lundi 20 janvier 2014

[Choses qui me passe pour la tête]



Hier, tandis que je cherchais sur mon profil un texte que j’avait déjà écrit pour republier, j’ai relu d'autres. Je pensais à certains: pourquoi je les ai écrit, ses sens et la cohérence des mots avec la vie. Également remarqué que certains des plus « aimé » étaient ceux qui avaient été liés à la fragilité et à la douleur. Pure spéculation à ce moment, mais ... est-ce que, aujourd'hui, en pleine « jungle urbaine », où on doit être fort, puissant, le meilleur de tous pour survivre, on donne l'espace de « je ne peux pas », « je suis fatigué » « Oui, je l'admit, je suis fragile et je besoin de protection »? Ça ne pas un apologie de petit pauvre. Bien au contraire, c’est la défense de la liberté de savoir vivre. Eh bien... je continue a réfléchir.

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